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XIV


M. Sucre et madame Prune[1], mon propriétaire et sa femme, deux impayables, échappés de paravent », habitent au-dessous de nous, au rez-de-chaussée. Bien vieux l’un et l’autre pour avoir cette fille de quinze ans, Oyouki, Tamie inséparable de Chrysanthème.

Confits tous deux en dévotion shintoïste ; toujours à genoux devant leur autel familial ; toujours occupés à dire aux Esprits leurs longues oraisons, en claquant des mains de temps en temps pour rappeler autour d’eux ces essences inattentives qui flottent dans les airs. — À leurs moments perdus,

  1. En japonais : Sato-san et Oumé san.