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Page:Loti - Quelques aspects du vertige mondial, 1928.djvu/234

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pleut trop. Et bientôt, dans ces solitudes où la mort fait semblant de dormir, on n’entendra plus que les averses froides, qui continuent obstinément leur espèce de pianotage perpétuel sur l’eau de toutes ces flaques ro n ^ oc FIN