Page:Louÿs - Œuvres complètes, éd. Slatkine Reprints, 1929 - 1931, tome 1.djvu/105

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LXXXI


Le souffle du Notos, favorable aux matelots, ô malheureux ! * m’a enlevé la moitié de mon âme : Andragathos.


Trois fois heureuses nefs, trois fois heureux flots de la mer * et, quatre fois heureux le vent qui portait l’enfant.


Puisse-je avoir été dauphin, pour qu’emporté sur mes épaules * après la traversée il vît Rhodes heureuse en éphèbes.