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XLV
Bruyants moustiques, impudents et de sang humain * siphons, nocturnes bêtes à deux ailes,
Laissez Dzénophila, je vous supplie, abandonnée au calme sommeil * dormir. Voilà ma peau, mangez-en pour vous occuper.
Mais pourquoi parler ? Les bêtes aussi, sans m’écouter, * jouissent sur cette peau molle où elles s’échauffent.
Mais encore une fois je vous préviens, mauvaises bêtes, rabattez votre audace * ou vous saurez de quoi mes mains jalouses sont capables.