Page:Louÿs - Œuvres complètes, éd. Slatkine Reprints, 1929 - 1931, tome 12.djvu/163

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Chateaubriand écrit comme un dieu et Maurice de Guérin comme un pied, c’est impossible. Tous les deux prennent la même matière et tous les deux violent la langue. Quand ils font des fautes de français, le premier est sublime le second est lamentable, Pourquoi ? Non seulement je n’en sais rien, mais je défends bien à la Sorbonne de feindre jamais qu’elle le sache.