Page:Louÿs - Œuvres complètes, éd. Slatkine Reprints, 1929 - 1931, tome 12.djvu/45

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

les mauvais juges s’extasient devant son immoral sourire. C’est pourquoi il est bon de ne la point aimer, de la fuir comme une dépravation esthétique et de répéter avec Baudelaire ce premier vers d’un credo :


Je hais le mouvement qui déplace les lignes.