Page:Louÿs - Œuvres complètes, éd. Slatkine Reprints, 1929 - 1931, tome 3.djvu/216

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Ses mamelles dans mes mains je les ai, sa bouche à ma bouche ; et sa nuque éclatante, éperdument furieux je la dévore.

Je n’ai pas encore pris toute l’Aphrodite mais je combats. J’étreins la vierge qui me refuse son lit.

Car, moitié à la Paphienne, moitié à l’Athêna, elle s’est donnée. Et moi entre les deux je m’épuise.


Paul le silentiaire, V. 272.