Page:Louÿs - Œuvres complètes, éd. Slatkine Reprints, 1929 - 1931, tome 4.djvu/195

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Mais soudain elle défaillit, tant l’odeur de ce bouge était insoutenable, et les matelots l’emportèrent sur leurs bras.

À l’air extérieur, elle se remit un peu :

« Où allons-nous ? supplia-t-elle. Faisons vite ; je ne puis plus marcher. Je ne vous résiste pas, vous le voyez, je suis bonne. Mais trouvons un lit le plus tôt possible, ou sinon je vais tomber dans la rue. »