Page:Louÿs - Œuvres complètes, éd. Slatkine Reprints, 1929 - 1931, tome 8.djvu/169

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se laissa tomber, les bras sur la table, les yeux sur le bras, secouée de sanglots, reprise à jamais par la main de la Douleur. Et plus faible, plus défaillante que si elle eût pleuré ses larmes sur les cendres de son amant, elle répétait de sa voix désespérée :

« Il ne m’aime plus… Mon Dieu ! il ne m’aime déjà plus. »