Page:Louÿs - Œuvres complètes, éd. Slatkine Reprints, 1929 - 1931, tome 8.djvu/174

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Il ne lui parla plus, mais fixa sur elle ses yeux inquiets et très tendres. Les deux regards mêlèrent leurs ondes silencieuses. Celui d’Aimery était si clair, si franc, si animé de lumière aimante, qu’un instant elle douta de son propre doute.


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(Ici s’arrête le manuscrit de Pierre Louÿs.)