Page:Louÿs - Aphrodite. Mœurs antiques, 1896.djvu/146

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« Elle a eu peur, reprit Chimairis. Pourtant ce n’est pas d’elle qu’il s’agit, ni de moi. Laisse aller les choses, puisqu’on ne peut rien arrêter. Dès avant ta naissance, ta destinée était certaine. Va-t’en. Je ne parlerai plus. »

Et elle laissa retomber la main.