IV
LA LECTURE AU LIT
« Lis encore, Germaine. Je veux le faire encore une fois.
— Commence-toi d’abord. Quand tu seras bien excitée…
— Si je le suis ! Tiens ! tiens ! Si je le suis ! regarde mon doigt.
— Alors je reprends : “Albert retira du con sa pine toute couverte du foutre de la voluptueuse Henriette. ‘À moi !’ cria la comtesse, en prenant dans sa bouche la pine toute mouillée. Albert n’avait pas déchargé.”
— Oh ! que c’est cochon, ton petit livre ! Que ça donne envie ! Continue, ma Germaine, je vais jouir.
— “Elle le suçait avec une sorte de rage. Mais déjà Henriette avait fourré sa tête entre les cuisses de la suceuse et la gougnottait furieusement. La comtesse se tordait de désir et de volupté. Son beau cul de brune grasse et velue s’agitait sur la bouche de la petite tribade. Hector, devant ce spectacle, s’était remis à bander. ‘Il faut que je l’encule !’ cria-t-il, en mouillant son long membre avec un peu de salive…”.
— Ah !… ah ! ma chérie, tu me rends folle…
— “Il le poussa vigoureusement dans l’anus étroit de la jeune femme. Elle voulut crier, mais au même instant, un flot envahit sa bouche, pendant que la pine d’Hector et la langue d’Henriette”…
— Assez !… je jouis… je jouis… je jouis… »