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LA GOUSSE ENCULÉE
« Ah ! oui ! pendant qu’elle me gousse ! Ça sera bon ! Mets-la-moi dans le cul !
— Tu es habituée ?
— Oui, mon loup. Moi je n’aime que deux choses : la langue des filles dans le chat, la queue des hommes dans le cul. Encule-moi, je vais jouir.
— Faut-il mouiller ?
— Mouille en crachant dessus… Dépêche-toi… Ne te trompe pas de trou.
— C’est là ?
— Mais oui, c’est là ! Pousse donc, cochon ! Pousse donc !
— J’y suis ?
— Ha !… là ! là !… Oui, tu y es !… Va plus vite, Albertine… Ha ! non, plus lentement, arrête… Je veux qu’il m’encule bien avant que je ne décharge.
— Jusqu’au fond ?
— Oui, jusqu’au fond… Que je sente tes couilles… Ah ! je les sens ! Albertine, fourre ta main dans mon chat… prends-lui la queue… branle-le… branle-le… Ah ! et ta langue que je sens toujours !
— Tiens ! saleté ! le sens-tu que je te pisse du foutre dans…
— Dans mon cul… oui, je le sens… Ah ! les salauds ! Bois mon jus, Albertine, je le fais… je le fais… »