— Tu ne me nourris que de foutre, mais chaque fois j’en ai la bouche pleine.
— Et je me sens plus abjecte encore quand je prends la même posture sous elle.
— Parle donc de ce que tu aimes le mieux !
— Non ! oh ! non ! dis-le, toi ! Je n’en peux plus !
— Prends la pose, et je le dirai. »
Secunda tomba en prière au pied du lit. Tertia, toujours gaie, une main sur la hanche, dit en la désignant de l’autre bras :
« Tu vois, papa, comme elle prie ? les reins creux, le derrière comme deux boules et les fesses tellement ouvertes qu’elle a l’air de prier les saints pour qu’on l’encule.
— Je sais que je suis impudique ! gémit l’agenouillée.
— Le premier soir où nous avons couché ensemble, quand elle s’est mise en prière, la figure dans les mains, je ne voyais plus rien que son trou du cul ; je l’ai goussé ; elle tressaillait, mais elle ne résistait pas. Alors, j’ai fourré ma langue dans le trou.
— Je n’en priais que mieux !
— C’est ce que j’ai compris. Aussi, j’ai retiré ma langue, j’ai enfoncé mon godmiché à la place, et puis… je ne sais comment cela c’est fait, mais sans que je la branle, rien qu’en remuant un peu le godmiché dans le cul, elle a déchargé.
— Ne t’ai-je pas dit qui je voyais, les yeux fermés ? et maintenant encore je la vois…
— Ste Marie l’Égyptienne ?
— Oui ! Sur son lit de jeunesse et de luxure. Elle est nue comme moi et à genoux comme je suis. Elle me sourit de ses yeux fardés. Derrière elle s’agenouille son amant. Elle prend le