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d’hiver. À l’avenir, mes femmes et ma fille se régleront selon leurs inclinations. J’émancipe leurs têtes charmantes que là vôtre rendait plus charmantes encore par le contraste de sa hideur.

À ces mots il y eut dans la foule moins de joie peut-être que d’attendrissement et, comme des enfants qui reçoivent des cadeaux prestigieux sans oser y toucher encore, les femmes se pressèrent autour de celui qui était si bon pour elles, et vinrent avec la blanche Aline, fidèlement, lui baiser les mains.



Ci finit l’aventure extraordinaire du Roi Pausole, qui, pour retrouver sa fille, alla jusqu’à parcourir sept kilomètres à dos de mule, de son palais à sa grand’ville.

On aura lu cette histoire ainsi qu’il convenait de la lire, si l’on a su, de page en page, ne jamais prendre exactement la Fantaisie pour le Rêve, ni Tryphême pour Utopie, ni le Roi Pausole pour l’Être parfait.



FIN