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Les changements
I
C’est une jeune fille
Que j’aime tant :
— Si tu voulais m’y rendre,
Le cœur content,
Je te donnerais cent francs
De mon argent.
II
— Si tu m’y donnes,
De ton argent,
Je me renderai nonne
Dans les couvents ;
A ma n’a plus d’attendre,[1]
Quevalier blanc.
III
— Ah ! si tu t’y rends nonne,
Dans les couvents,
Je m’y renderai moine
Fort bien chantant,
Je confess’rai les nonnes
Dans les couvents.
IV
— Ah ! si tu t’y rends moine,
Fort bien chantant,
Pour confesser les nonnes,
Dans les couvents,
- ↑ Var. : A ma n’faut pus t’attendre.