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V
Véci aussi venue la lieuve[1] :
— Je suis gai et ben ligeu,
J’sortirai d’la ras[2] du sillon
Pour aller qu’ri[3] les légumes
Du papillon.
VI
Véci aussi venu le chat :
— Je suis gai et délicat,
J’grill’rai ma barbe sur les charbons
Pour fair’ bouillir les marmites
Du papillon.
VII
Véci aussi v’nu l’éprivieu[4]
Qui a mis le pot au feu ;
Et le coucou, et le coucou,
Qui souffle le feu dessous :
S’a brûlé l’cou.
VIII