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Page:Lozeau - Le Miroir des jours.djvu/159

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LE MIROIR DES JOURS

Pour qu’un souffle méchant les éteignît jamais.
Vous êtes mes clartés, jolis yeux que j’aimais !
Gardez, en vous fermant, de replonger dans l’ombre
Mon âme où, prêt au mal, se blottit l’ennui sombre…