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LE MIROIR DES JOURS

Et tombe, ― par un soir de lune merveilleux
Où montent des parfums de jardin vers les cieux ;

― Verlaine, ta chanson n’est pas toujours la bonne,
Me disais-je ; pourtant, je l’aime et j’en frissonne !
Ta Muse a passé trop de nuits aux cabarets,
Elle en a dit bien tard ses immortels regrets,
Et si le temps sur ses souillures jette un voile,
C’est que le repentir luit comme une étoile !