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Page:Luchet - Le Vicomte de Barjac, Tome II.djvu/145

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je n’ai vu l’auteur de ces bienfaits que sur son lit de mort. — Vous demeurez chez le Vicomte de Barjac. Une jeune personne se doit à elle-même de ne pas habiter avec un homme seul. — Une jeune personne dans la misère baise la main qui la recueille, est occupée des malheurs de son état, & non des vains préjugés des riches. — Vous existiez bien auparavant ? — Chez un curé qui vivoit avec sa sœur, auxquels j’ai fermé les yeux. — Il y a dans votre existence, un ensemble d’obscurités que les mœurs doivent éclaircir. — C’étoit par-là qu’il falloit commencer, & non me punir. — Qu’appellez-vous punir ? — Quoi !