Page:Luchet - Le Vicomte de Barjac, Tome II.djvu/27

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moins développer ses vues, ne s’accommode pas de la jurisprudence expéditive des camps. La France n’a jamais un moment pour ces sortes d’examens : les fêtes, les emprunts, les traités & les chansons, les modes & la guerre l’occupent trop essentiellement. — Voilà bien des difficultés ; mais point encore assez pour décourager un patriote. Fixez les yeux sur ce portrait : c’est celui du Comte Panin. Que n’a-t-il pas eu à combattre ! Son active patience a triomphé. Lui conseilloit-on un séjour dans ses terres ? il cherchoit, pendant cet exil poli, de nouveaux remèdes aux besoins de l’état. On le rappelloit ? loin de