Page:Luchet - Le Vicomte de Barjac, Tome II.djvu/46

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êtes dans le malheur. Nous le remerciâmes, après lui avoir observé que les positions nous commandoient souvent, & qu’un repentir stérile ne remédioit pas à la nécessité. Lorsqu’il nous vit absolument décidées, il nous consola par le portrait du nouveau Souverain sous lequel nous allions vivre ; après le plus bel éloge, il ajouta : ce n’est pas le plus aisé à contenter ; mais c’est le meilleur des maîtres à servir ».

« Nous voilà donc admises dans cette troupe, le meilleur ensemble qui jamais ait été en Allemagne. Sans posséder de grandes connoissances de détail,