Page:Luchet - Le Vicomte de Barjac, Tome II.djvu/75

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Souveraine, de l’éducation nationale ; qu’il en étoit d’autant plus fâché, qu’elle alloit volontiers au-devant des nouveautés utiles. D’après cette réponse, le Vicomte fut à la comédie, c’est-à-dire à la cour, & partit quelques jours après pour Varsovie, espérant davantage du plus aimable & du plus généreux des Monarques. Il aime le bien ; mais il corègne avec un CONSEIL, & tout ce qui exige le concours de ce tuteur sévère, par cela même lui déplaît. On en prévint à tems M. de Barjac qui passa debout, & vint à Berlin.

On lui fit tant de questions aux portes, sur sa naissance, son état, ses occupations, sa compagne, ses