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Page:Luchet - Le Vicomte de Barjac, Tome II.djvu/98

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sentez bien que ces terres, ces maisons, ces contrats ne peuvent me convenir ; prenez tout cela, je ne changerai jamais ni d’état, ni de séjour, ni de maître, ni de sentimens.

Le Vicomte, non moins étonné, lui représenta qu’il falloit d’abord connoître le fond de leurs affaires avant de penser à un projet ; que les loix devoient être consultées, & que peut-être viendroit-on à bout de trouver le fil qui les conduiroit au parti le plus sage. Il commença à faire venir un avocat ; on le mit dans la confidence ; on le chargea de tout diriger ; on ne toucha pas à la plus petite chose pendant deux mois.