et d’un geste large sa robe, puis la minuscule chemise. Décidément, combinaison et pantalon lui devenaient superflus, elle préférait les simples appareils qui laissaient plus de grâce à ses mouvements.
Quand elle fut nue, elle menaça Louis du doigt :
— Tu seras sage, sinon !
Bien qu’il fut débarrassé de son caleçon et se promenait en panais, il la dévorait des yeux, semblant se demander de quel côté il l’attaquerait afin de la surprendre sans défense.
Ce fut peine perdue ; elle s’accroupit sur le lit, en une pose qui lui était chère, les genoux à la hauteur des oreilles, chaque main tenant un pied. Et elle souriait langoureusement.
D’un doigt dominateur, elle lui indiqua ce qu’il avait à faire, et il se soumit, comprenant qu’il n’obtiendrait rien sans une docilité préalable.
Elle riait et avait des petits cris brefs