secouaient les entrailles. Brusquement, elle se détendit tout entière avec un véritable cri.
Elle le griffait de ses ongles acérés, le mordait à l’épaule de ses dent aiguës, le retenant près d’elle, bien qu’il voulût s’éloigner.
Mais quand il se fut libéré, elle redevint indifférente et, lui tournant le dos, alluma une cigarette. Il lui fallait lutter contre elle-même pour agir ainsi ; elle n’aurait écouté que sa passion, qu’elle aurait couvert l’amant de baisers reconnaissants. Cependant, elle n’oubliait point qu’elle se livrait à un véritable dressage.
Timide, il se rapprocha et l’embrassa à l’épaule, puis de sa main saisit le sein rond et ferme.
Elle se mit à rire, lui caressant la barbe du bout des doigts.
Cependant, quand elle eut achevé sa