Page:Lumbroso - Souvenirs sur Maupassant, 1905.djvu/460

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
    1. s1 ##

blicité, et je suis encore loin d’avoir fait mes frais. Je pense que vous ferez bien d’être conciliant sur ce chapitre-là et de m’ aider un peu à supporter ce petit choc.

Comme on donne généralement 10 pour cent sur les éditions de luxe, comme droits d’auteur, je vous proposerai de vous payer 0,75 par volume vendu ; je crois que ce sera raisonnable.

Nous en causerons, d’ailleurs, quand vous voudrez, et, je vous donnerai toutes les pièces de fabrication.

Je suis pris une partie de la journée par cette gueuse d’affaire. Voulez-vous me donner rendez-vous à la Librairie ou ailleurs de 4 à 6 heures ?

Un mot au porteur s’il vous plaît. Je vous serre cordialement la main.

V. Havard.

    1. s2 ##

Maupassant à Henri Amic.

Chatel-Guyon, 17 août [1885].

Merci, mon cher ami[1], pour votre aimable invitation et pardonnez-moi si je ne l’accepte pas en ce moment. Mon premier mois de chasse est toujours pris par six ouvertures successives en Normandie ; et il m’est impossible de changer l’ordre établi de ces chasses obligatoires. Mais j’espère bien aller vous voir aux Bouleaux[2] dès que je serai de retour à Paris.

  1. Monsieur Henri Amic, un des auteurs d’En regardant passer la vie…
  2. La villa des Bouleaux près Gouvieux (Oise).