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J’en ai un autre sous le seuil (de la porte),
Avec du fumier plein la bouche ;
Et un autre sous (la pierre) du foyer,
Je ne sais comment l’enfer ne m’a pas engloutie ![1]


Chanté par Marie-Josèphe Cado,
Plouaret — 1847.






  1. Marguerite Guillard dit d’abord qu’elle n’a eu que cinq enfants, dont un seul reste en vie ; d’après cette énumération elle en aurait eu davantage, et les aurait fait périr d’une manière différente de ce qu’elle a déclaré premièrement.

    D’ailleurs, cette fin où Marguerite énumère tant d’infanticides, me parait une interpolation — un souvenir peut-être d’un passage analogue de « Marie Quelen » du premier volume des « Gwerziou », page 89.