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— Si j’ai des enfants, je les tiens de Dieu,
Pour fournir au riche le moyen de sauver son âme.
N’avez-vous pas souvenir, mon parrain, de ce qui arriva
Au faux riche, parce qu’il ramassait son bien ;
Au faux riche, parce qu’il ramassait sa fortune,
Et avec une certaine malice, aux dépens des pauvres ?
— Reviens ici, mon ami, et je te donnerai
Quelque petite chose, maintenant, à leur envoyer,
Et prie Dieu pour moi, afin que nous allions tous reposer
En louant le Seigneur Dieu, dans la gloire du Paradis !
Une vieille mendiante.
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