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  Et vous serez à deux genoux.
 Passez alors la main entre les fesses,
  Et leur faites quelques caresses.
Puis, doucement, fermez les lèvres de son con.
 De l’autre main, entr’ouvrez son derrière,
  Collez la bouche au trou mignon
 Et soufflez-y de la bonne manière.
  Si, par aventure, le vent
Que vous soufflez au cul passe par le devant,
  Je décide alors que la belle
  S’est fait foutre et n’est plus pucelle.
Si le vent vous revient, foutez-la, mon ami :
 Son joli con mérite votre vit !



CONTE X

L’Époux guéri par une image.


 Le vif amant de la tendre Isabelle,
  Lui dit un jour : — Ma foi, la belle,
Je suis bien curieux de voir ton petit con ;
 Montre-le-moi. — Grand merci, mon mignon :
 Il sera temps après le mariage,
  De le voir et d’en faire usage.
Lucas devient malade. — Ah ! mon pauvre Lucas,
Qu’as-tu ? — Va, j’en mourrai, si je ne vois ton cas.
  Sais-tu bien comment on m’appelle ?