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Page:Lyndamine ou l’Optimisme des pays chauds, 1875.djvu/123

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un arc de cercle bien parfait. Vous voyez que nous nous instruisons et que nous attendons nos braves.

— Le savant est seul, répond la Jolicon qui l’appelle à l’instant.

Il vole vers nous.

— Vivent vos appas, mes charmantes, s’écrie-t-il, il faut que je les caresse, s’il vous plaît ; cela me donnera du feu pour compléter vos leçons. Que sont donc devenues nos aimables disciples ?

— Voyez-vous ce petit con qui se montre hors du lit ? lui dis-je en lui montrant Julie, qui avait le ventre en l’air.

— Ah ! parbleu, s’écria-t-il, gardez le silence ; je réveillerai celle-ci à coups de piston. Lyndamine, voulez-vous bien la mettre on bon état ?

— Volontiers, monsieur, ajoutai-je ; pour la rareté du fait et pour vous obliger, je serai témoin de vos œuvres.

Notre maître mit en foire ses pays chauds. J’en fais la toilette ; je passe, je repasse les mains sur son mince outil, comme on les frotte sur le dos d’un chat.

— Cela, dis-je, aurait quelque besoin du coussin.

— Non pas, mignonne, répond-il en me serrant les fesses ; il reviendra sous vos doigts.

Je réussis, en effet, à lui procurer une érection glorieuse. Je m’en saisis, et l’approchai du lit, sur le bord duquel la Julie étalait son con. J’eus encore la complaisance d’entr’ouvrir les belles lèvres. La tête du vit était déjà dans son domaine qu’elle ne s’éveillait pas encore. Enfin, le géomètre devint fougueux, donna un si furieux

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