Page:Lyndamine ou l’Optimisme des pays chauds, 1875.djvu/274

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AVIS AUX LECTEURS


  D’après le conseil de Verville,
  J’avertis un nez délicat
  Qu’il doit être un peu difficile
  Sur les objets de l’odorat.
  Voulez-vous d’une odeur puante
  Affecter ce sens précieux ?
 Sentez un œuf, une huître bien béante,
 Vous n’avez rien de plus délicieux.
J’en excepte, pourtant, l’odeur aromatique
  Qu’exhalent tant de chastes cons
  Échauffés sous des cotillons :
  Leur vapeur est diabolique.
  Que ceci soit dit en deux mots,
  Pour faire jaser tous les sots,
  Je n’ajoute qu’une parole :
 « Sur mes écrits l’on a mis le contrôle. »
 — Ah ! quel auteur, quel maudit libertin !