Page:Lyriques grecs - traduction Falconnet.djvu/422

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ws msocnnn. ` ` roi.wx. ` Si c’était la mienne, tu- ne retournerais pas chez toi saps avoir reçu l’olTrande hospitalière. - A nrcus. I ` - Jamais je ne serai ton hôte; pour mes dons, il n'est pas . facile de les obtenir. ‘ ` i·oi.wx. s Quoi! mon ami, nous ne pourrons pas même nous dé- saltérer a cette source? .. . nrcus. · Tu le sauras quand ta soif aura desséché tes lèvres. rorwx. , Faut-·il de l’or pour cette faveur? Quel. prix y mets·tu ? Anrcus. Celui de combakre corps à corps, armé du ceste, contre un athlète redoutable, seerant tes mains contre ses mains, tes cuisses contre ses cuisses, le bravant des yeux et du poing, et usant de toute ton adresse.

>0i.wx.

Où donc est l’athlète? iuvcus. Devant toi; Amycus est ton rival. roumx. Et le prix du combat? suvcus. ` Vaincu, je suis à toi; vainqueur, tu seras mon esclave. i·oi.i.ux. Ces combats sont des combats de coqs. Marcus. De coqs oude lions, peu m’importe; nous ne combat- trons qu’à ce prix. i Ainsi dit Amycus, et soudain l‘air retentit de sa conque marine. A ce signal, les Bébryccs si soigneux de leur lon-· · gue chevelure se rassemblent en foule sous des platanes. A De son côté, l'intrépide Castor vole vers le vaisseau et appelle tous ses illustres compagnons. ` i