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Page:Lytton - Rienzi, le dernier des tribuns de Rome, tome 2, 1865.djvu/192

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Montréal nourrissait de plus vastes projets ; il donnait à sa compagnie un gouvernement régulier… Par cette discipline il faisait régner l’abondance dans son camp ; les gens de guerre ne parlaient, en Italie, que des richesses que l’on acquérait à son service…
(Sismondi, Histoire des Républiques italiennes, t. VI, chap. xlii.)