Page:Mélanges d’indianisme.djvu/76

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
64
A.-F. HEROLD

Les fleurs, les fruits, l’ombrage, la verdure :
    C’est le trône de la nature,
    Où règne un printemps éternel.

Les notions de Favart restaient assez vagues, on le voit. La comédie, au lieu de deux actes, en avait trois ; Grétry avait composé des morceaux nouveaux, et le succès fut meilleur qu’en 1770.

C’est ainsi qu’à la fin du xviiie siècle, deux auteurs, qui ne se ressemblaient guère, mirent, en France, des Indous sur la scène.

A.-Ferdinand Herold.