Page:Mémoire historique sur la communauté St.-Antoine, etc., 1850.pdf/24

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( 22) tres, il récompensoit les premiers par des li. vresou des images, suivant que chacun avoit plus ou moins profiré ; et faisoit aux autres les repréhensions qwils méritoient.

Il faisoit aussi tous les mois une visite culiere aux Grandes Ecoles, pour reconnoître le nombre d’enfans qui avoient quitté Ecole pendant le trimestre : ensuite il faisoit une autre visite aux Moyennes, ot il choisissoit parmit les plus avaneés un pareil nombre d’en- fans, pour remplir le vuide desGrandes. Enfin il faisoit une antre visite dans les Petites Eco- les, ol il chosissoit également parmi les plus avances un nombre suffisant d’enfans pour remplir le ynide des Moyennes,

Tous les ans à la fin de année classique, qui étoit du vingt an vingt-cing Aott, on dis. tribuoit des livres aux enfangs qui s’étoient dis- tingués par leur assiduité 4 répeter des cha- nitres, particulierement du Nouyean et de ’Ancien. Testament : car il y en ayoit qui ayant une mémoire plus heureuse, et fyi quentant’Ecole plus long-tems, ajout la répétition de ces deux livres, Pseaumes, des Vies des Saints, de des Confessions de S. Anoustin, des Poémes de Racine sur la Religion ct sur la Grace » et du grand Catéchisme de Montpellier ; Vantres celui de Naples, en trois volumes, Le Curé de la paroisse faisoit la distribution des pr et la Communauté en faisoit la dépens qui, avec les autres livres qui se 4 Sts le cours de’année, montoient me de huit ou neuf cents francs.

Le temps des vacances duroit depuis environ le 20 Aotit jusqu’au premier lundi d’Octobre.

On faisoit tous les ans trois pelerinages : le