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N° 3.
Réponse de’'M. Fosseux & une lettre que lui écrivit Maximilien Robespierre en lui envoyant un exemplaire de I’ éloge de Gresset.
Du chantre de Vert-Vert je prisais les talens : Mon oreille, attentive a ses tendres acrens,
Ne pouvait se lasser d’écouter cette lyre
Que n’inspira jamais un coupable deélire,
Mais combien il parait plus sublime 4 mes yeux Depuis que , possesseur d’un écrit précieux ,
Je puis , guidé par toi, mieux régler mon suffrage. Quoi! ce touchant éloge ot tu lui rends hommage . Ou tu peins son esprit, son style intéressant ,
A ses concitoyens parut insuffisant !
Qu’ils craignent que par eux , sa cendre révérée N’obtienne pas la gloire a Gresset préparée.
Que fallait-il de plus pour ’honneur d’un mortel ? Pour l’honneur de Gresset fallait-il un autel ! Mais contre cet arrét tandis que je réclame ,
Cet arrét rigoureus n’irrite point ton Ame.