qu’un ami sincère et toujours près à t’être agréable.
« Je te savais en Italie avec… et je sais enfin que tu est de retour à Nice. Tu m’en vœus donc à la mort ? Si tu savais le chagrin que j’ai de t’avoir causée tant de tourments et de peines. Je t’aimais tant, et t’aimerais toujours quand même ! Si ma présence, à ton retour à Paris, t’est odieuse, je fuirai, si tu le désire ; mais avant de m’éloigner, à mon tour, par ta volonté, tu ne me refuseras pas de déposer un baiser sur ta main chérie. L’ai-je assez aimé !… Je t’adore d’avantage !
Par une fâcheuse coïncidence, je faisais peu de temps après, connaissance d’un jeune homme qui, inspiré peut-être par ce précédent d’un goût douteux, mettait à exécution, sans rime ni raison, sa funèbre plaisanterie. On comprendra que je n’insiste pas sur ce déplorable incident de ma vie. Le héros de