quelques livres de ma bibliothèque relatifs à la religion, qui ne sont pas de nature à être mis entre les mains de tout le monde. Ils jugeront si parmi mes manuscrits, autres que ceux qui méritent d’être remis au revérendissime Moyse, il en est qui méritent d’être publiés. Je m’en réfère à leur sagesse. Le manuscrit contenant mon Testament moral et les Mémoires de ma vie ecclésiastique, politique et littéraire seront remis à madame Dubois ; elle m’a promis de les faire imprimer.....
« Je prie M. Lanjuinais, sénateur, et M. Silvestre de Sacy, membre de l’Institut national, de vouloir bien être mes exécuteurs testamentaires ; ces deux savans chrétiens et citoyens me sont attachés, ils ne refuseront pas ce dernier acte d’amitié à un homme qui est leur ami, et qui emporte cette espérance dans l’autre monde.......
« Fait à Paris le 1er messidor mil huit cent quatre de Jésus-Christ, an douze de la république.
« Je lègue 12,000 francs à Vého, où je suis né, et à Embermesnil où j’ai été curé ; le revenu de ce capital sera employé, en perpétuité, ainsi qu’il suit :