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Ai-je dit leur chanson, l’Age nu deu bos, l’Oiseau noir du bois, dont je retrouvai le souffle au bord de la mer, à travers les années et l’océan.
Oui, c’était bien l’oiseau noir du champ fauve, que je retrouvais au bord des flots, chantant les strophes brutales de la nature sauvage.