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Page:Mémoires de l'Académie des sciences, inscriptions et belles-lettres de Toulouse - 1901 - tome 1.djvu/312

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292 | | MÉMOIRES. :

SUR LE PARTAGE DU PLAN

EN

QUADRILATÈRES CURVILIGNES ÉQUIVALENTS

Par M. E. MATHIAS

& 1. — M. Maurice Lévy a donné une solution particulière : de ce problème, comme application du principe de Garnot ?, en montrant qu’il suïfit d’espacer convenablement les £sothermes et les adiabatiques d’un même corps. Le mode d’espace : : ment est le suivant : 1° les isothermes ont des températures

équidistantes ; 2° les segments consécutifs d’une même iso-.

therme, déterminés par les adiabatiques consécutives, corres-.. pondent à des quantités de chaleur égales. , Dans le cas où les mailles du réseau sont infiniment petites,

soient dQ et dT les quantités de chaleur fournies le long des segments de l’isotherme T et l’espacement des températures. des isothermes ; si l’on a

oo

TT — k — constante, on obtiendra des réseaux semblables, à maille infiniment petite, dont la grandeur dépendra de dQ, par exemple. Au point.

4, Lu dans la séance du 27 juin 4901. R. Lippmann, Thermodynamique, p. 68.