dépendait pas de cette hypothèse, j’ai cru qu’il était bon de la reproduire ici, en ne s’assujétissant à aucune supposition.
(12) Les différentielles des constantes arbitraires se réduisent à la forme la plus simple, lorsqu’on prend pour ces constantes les valeurs initiales des variables etc.; etc.; ce qui est toujours permis. Supposons, en effet, que l’origine du mouvement réponde à et qu’alors on ait
on aura, en même temps,
et toutes les autres différences partielles de etc., etc., relatives à etc., etc., seront égales à zéro. D’après cela, les coëfficiens des quantités etc., etc., seront tous nuls quand excepté les suivans, qui deviendront
Donc, puisque la variable doit disparaître d’elle-même dans chacun de ces coëfficiens, il s’ensuit qu’ils conserveront les mêmes valeurs, lorsqu’elle ne sera plus nulle ; par consé-