populaire, l’emportent sur les autres sous les rapports de bien-être, de longévité et de moralité. Il exprime ces rapports par une carte figurative à teintes plus ou moins foncées, qu’il applique sur les arrondissements dont l’instruction populaire est plus ou moins incomplète.
En terminant ces recherches, l’auteur donne l’idée de plusieurs écrits dont la composition serait d’une grande utilité pour le peuple.
M. le baron Dupin a calculé qu’un impôt proposé sur les livrets à l’usage du peuple, greverait les classes inférieures d’une taxe de francs ; taxe que les personnes à petite fortune seraient dans l’impossibilité de payer, et qui diminuerait beaucoup les moyens d’instruction d’une très-grande partie de la population.
Dans ce discours, M. le baron Dupin présente l’énumération des institutions de bienfaisance et des travaux d’industrie qui doivent, soit leur création, soit leur activité et une prospérité nouvelle à ce grand citoyen.
de la France depuis 1814.
M. Charles Dupin a montré le développement annuel des forces productives et commerciales de la France depuis 1814 jusqu’en 1827. Il a réuni dans un court espace un