Page:Mémoires de l’Académie des sciences, Tome 12.djvu/383

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à l’égard de toutes les valeurs possibles de et rendront aussi son premier terme un maximum ou un minimum relatif, ou par rapport seulement aux valeurs de et limitées par des équations

etc.,        (14)

dans lesquelles etc., sont des constantes données. Le problème des maxima ou des minima relatifs se trouve donc ainsi ramené à celui du maximum ou du minimum d’une somme d’intégrales, ou, plus simplement, d’une seule intégrale, savoir :


Les constantes etc., seront des inconnues, dont le nombre, comparé à celui des inconnues etc., du problème précédent, sera moindre d’une unité ; et les équations (13) seront remplacées par les équations (14).

(14) On parvient plus directement à cette réduction d’un problème à l’autre, par la décomposition des intégrales en éléments infiniment petits.

En effet représentons par un nombre entier quelconque, ou zéro, et par etc., les valeurs de etc., qui répondent à soit aussi un nombre infini, et supposons qu’on ait

il en résultera