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DE LA TURBINE FOURNEYRON. 17

La perte de vitesse à l’entrée et dans le sens de l’axe des canaux, aura donc pour expression

, R’.,

M sin [3 — fi ^ sui 9. u ;

ce qui donne pour la perte correspondante de force vive, par seconde et sur le pourtour entier de la roue, l’expression

r •. R’ ■ A’

]M f u sin p — ^ ïTr si’^ ?• ^))

et, pour la perte de force vive totale à l’entrée de l’eau dans les canaux,

M Ji’cos’p + rusinp — A-’p7, sino.j/ J =]Vir ?i’+/: —sin’ç.ii’ — 2A-’|r7, sin(p.ttsin p.Mj.

Mais, attendu que l’axe de ces canaux est ici supposé perpendiculaire à la circonférence intérieure de la roue (i) ou à la direction de v’ et que U est la résultante de c" et de «, on a nécessairement

usin [3 = Usinai— sin a. a’ ;

(i) S’il formait avec elle, du côté de la vitesse v un angle quelconque y, l’expression de la perte de force vive deviendrait

M|i.’ + P^.^«—2r5 : oos(Y-a)a’-."cosylA-’j ;, !!^a’ ! ;

ce qui introduirait, dans les équations, un ternie en li, qui les compliquerait un peu plus, et auquel il sera ainsi facile d’avoir égard dans la recherche des conditions relatives au maximum d’effet absolu.

T. XVII. 3