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20 THÉORIE DES EFFETS MECANIQUES

vitesse absolue conservée par le liquide, à sa sortie de cette roue.

Mais il est à remarquer qu’ici les valeurs de M et de MgH, qui représeutent la masse de liquide écoulée par seconde, et ]e travail moteur, l’effet absolu qui s’y rapporte, ne sont point indépendants de la vitesse angulaire u de la roue, de sorte qu’il ne conviendrait pas non plus de supposer ces valeurs constantes, comme on le fait ordinairement dans la recherche du maximum d’effet ; c’est pourquoi on se contentera de considérer simplement le maximum même du rapport de ces effets, lequel exprime l’avantage relatif de la roue, ou ce qu’on apj)elle quelquefois son rendement, dans la pratique.

Comme on a d’ailleurs

W —

9L’

II-

■2V j^ COS a.U,

l’équation qui donne ce rapport sera, en divisant l’expression ci-dessus de Pf par JM^H,

Pt-


Mé’H

+ ’2 fv’ COS

.g 4- f’ — ’ remplaçant v’ et v" par uR’ et uR", il viendra, toutes réductions faites, Pc VH-è°^-[(^, § i’(«"- ;-)-*]3iH rR’cos(p+R"^cosa] "KITT v/^+(R’-R"04-^-