vement. Les conditions physiques relatives à ces questions sont rigoureusement exprimées par l’analyse de l’auteur. Ainsi toute recherche de ce genre est réduite à une question de mathématiques pures, et dépendra désormais des progrès que doit faire la science du calcul. Les équations se rapportant à l’état permanent sont résolues par les premiers principes de l’algèbre ; celles qui expriment l’état précédent ou le refroidissement progressif ne sont pas moins simples, mais clles appartiennent à une autre branche de l’analyse.
L’auteur termine le résumé que nous venons de transcrire par quelques remarques sur les équations différentielles qui expriment le progrès de l’échauffement de l’air dans une enceinte exposée à l’action constante d’un foyer.
L’auteur pense, et il paraît assez difficile de lui nier cette supposition, que les premiers peuples s’étaient vus dans la