cylindriques, et sur la théorie des instrumens à vent ;
Les questions que je me propose de traiter dans ce Mémoire, ont déja été, pour les physiciens et les géomètres, l’occasion d’un grand nombre de recherches importantes ; néanmoins on verra que ces questions, et sur-tout la théorie des instrumens à vent, peuvent encore être envisagées sous un nouveau point de vue, qui aura l’avantage de faire disparaître les différences essentielles que l’on a rencontrées jusqu’ici, entre l’observation et le calcul appliqué à cet objet.
Ce Mémoire est divisé en quatre paragraphes. Le premier est employé à rappeler, d’une manière succincte, la théorie connue du mouvement de l’air dans un tube cylindrique, telle que Lagrange l’a donnée dans les anciens Mémoires de Turin ; je montre son insuffisance, lorsqu’on en fait l’appli-