Si l’on suppose dans les expressions de et
et si l’on nomme et ce que deviennent ces expressions, lorsqu’on y change en la fonction précédente devient, à-très-peu-près,
Si l’on détermine les constantes et de l’expression de de manière que le coefficient de la première puissance de soit nul ; cette fonction devient à-très-peu-près, et en observant que l’on peut négliger les termes affectés de
ou
étant supposé nul, on a la plus grande marée vers les syzigies. Si l’on fait successivement etc.,