en désignant cette série par
chacun de ces termes produira un reflux partiel, dont la somme sera de la forme
Le plus grand flux possible a lieu lorsque tous les cosinus deviennent égaux à l’unité. Supposons qu’à partir de cet état, on ait
En réduisant en série l’expression précédente de la hauteur des marées, elle deviendra
La supposition d’une grande marée donne la différentielle de cette fonction, nulle ; et par conséquent,
à cause de toutes ces différentielles étant à-très-peu-près égales à Maintenant les équations